Je prends la plume aujourd’hui pour raconter notre dernier mariage de cette saison 2019, celui de Mathilde et Shayann. Un mariage qui avait tout pour nous plaire : le mélange de deux cultures, une décoration sur le thème des livres, des voitures d’exception, et bien sûr des marié·es fondamentalement gentil·les, généreux·ses et amoureux·ses comme on les aime. De celleux pour qui on arrive prestataires et on repart ami·es.
Attention je préviens, il y a de la lecture ! Alors pour celleux qui n’aiment pas lire, vous pourrez découvrir les photos de ce mariage, sans blabla, dans la galerie de notre book.
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Arrivée en Vendée
Comme toujours lorsque le mariage commence tôt et qu’il est loin de chez nous, nous sommes arrivé·es la veille. Une arrivée qui ne s’est pas faite comme prévue, puisque notre van a décidé de nous faire une frayeur sur le trajet. Nous avons hésité à nous arrêter et à faire intervenir l’assistance, mais nous avons choisi de poursuivre la route en 4ème jusqu’au domaine où nous avions rendez-vous. Le van a tenu le coup jusque là-bas. Un peu de stress pour nous donc en cette veille de mariage, mais nous avons décidé de nous occuper de ce problème une fois le mariage terminé.
Nous avons prévenu les marié·es et trouvé une solution ensemble pour que l’on puisse dormir et faire les déplacements entre les différents lieux (le domaine étant à 1 heure de route de la mairie). La famille de Mathilde, chez qui se déroulaient les préparatifs le lendemain matin, nous a donc accueilli·es à bras ouverts pour un repas vendéen (les mogettes étaient de sortie) et nous avons pu installer notre matelas dans la partie aménagée de leur garage, à côté d’une vieille jaguar, une alpine et une R8 Gordini, pour passer la nuit. Nous avons passé une bonne soirée en leur compagnie, qui s’est ressentie le lendemain car iels étaient à l’aise dès les premiers déclenchements de l’appareil.
Préparatifs de la mariée
Au petit matin, la brume de beau temps s’invite, recouvrant les marais salants autour de la maison, ce qui donne une ambiance mystérieuse et épique à ce début de journée.

Coiffeuse et maquilleuse s’installent dans l’une des maisons et s’affairent autour de la mariée, mais aussi de sa mère, sœur, nièce, témoins… Bref beaucoup de monde passe entre leurs pinceaux et brosses pour être parfaites. Le tout se passe de manière détendue, on sent que l’émotion monte à mesure que chacune se transforme pour l’occasion. Voir tout ce petit monde, réuni autour de soi, ça ne peut que faire plaisir. Pas de stress chez Mathilde, seulement un peu d’impatience de retrouver Shayann qui l’a laissée dormir seule pour passer la nuit dans le gîte où il se prépare.


Préparatifs du marié
Nous rejoignons d’ailleurs Shayann pour photographier ses préparatifs, laissant Mathilde dans les mains de sa coiffeuse, avec pour consignes de nous attendre pour enfiler sa robe. Lui aussi est bien entouré, de ses témoins et ses grands-parents. Et lui aussi à hâte de la voir. Nous prenons le temps de photographier avec soin ses préparatifs (Shayann, très discipliné et attentionné, prend son temps pour s’habiller, ce qui nous permet de nous positionner pour obtenir les meilleurs clichés possible) et les émotions qui les accompagnent.


Habillage de la mariée (ou presque)
Puis nous recevons un texto de Mathilde. Elle est prête, maquillée, coiffée, et habillée. Habillée ? Comment ça habillée ? Heureusement nous avions terminé avec Shayann, nous rentrons donc au plus vite chez les parents de Mathilde, de peur d’avoir manqué les moments où les proches voient la mariée pour la première fois, qui sont toujours riches en émotions. Nous trouvons Mathilde prête, dans sa magnifique robe et ornée d’un voile, et heureusement seules les quelques personnes qui l’ont aidée à enfiler sa tenue sont là. Ni ses parents ni sa sœur ne l’ont vue, mais c’était juste. Quelques minutes à peine après notre arrivée les voilà qui débarquent, faisant couler quelques larmes au passage.


Séance découverte
Nous partons ensuite pour la séance First Look prévue dans les marais salants à quelques centaines de mètres de la maison familiale. Je laisse quelques minutes à Xavier et Shayann pour partir, puis je commence à marcher avec Mathilde. A mi-chemin Xavier me rejoint en courant depuis la maison. Shayann s’était arrêté en chemin dire bonjour à la famille de Mathilde à l’intérieur de la maison principale, nous sommes donc parties avant eux au lieu de partir après ! Heureusement les deux marié·es ne se sont pas vu·es. Nous nous cachons donc avec Mathilde derrière la haie d’un voisin, le temps que Shayann passe avec Xavier.
Puis nous reprenons notre route. Le suspens dure quelques minutes de plus car deux personnes se promènent sur le chemin en arrière plan, vêtues de rouge donc pas vraiment harmonieux pour les photos de ce moment où l’on préfère toujours que les marié·es soient seul·es au monde. Enfin nous donnons l’autorisation à Shayann de se retourner pour admirer sa promise. Il le fait, comme pour ses préparatifs, lentement, profitant du moment.
Une fois l’un·e en face de l’autre, je les invite à suivre leur instinct, à nous oublier complètement, et à profiter du moment. Iels se précipitent alors l’un·e vers l’autre pour s’embrasser, se regarder dans les yeux, et se faire un long câlin. Une petite larme s’invite au coin de l’œil de Mathilde.

Séance couple dans les marais salants
Une fois l’émotion un peu retombée, nous profitons du moment et du lieu pour faire quelques photos de couple, car le planning de la journée à partir de la mairie est très chargé nous ne sommes donc pas sûrs d’avoir une autre occasion pour ces photos.

Nous les invitons à faire quelques mini-jeux pour les détendre et les faire rire et sourire. Iels sont très réceptif·ves, surtout Shayann, et très doué·es. C’est le premier couple à réussir « Regardez-vous dans les yeux et dites une couleur à trois. Vous n’avez pas le droit de vous concerter. » Iels sont donc parfaitement connecté·es (ou iels ont beaucoup de chance, difficile de le savoir).

Le compteur de mignonnerie explose lorsque Shayann, qui doit trouver un adjectif dont la première lettre est J décrivant Mathilde, nous dit après une longue et intense réflexion « Il y a jolie, mais ça ne te décrit pas vraiment, car tu es plutôt magnifique. Du coup Jmagnifique. ».
En route pour la mairie
Il est ensuite temps de rendre les amoureux·ses à leurs proches et de partir pour la mairie, la mariée en R8, et le marié en Porsche.
La cérémonie civile avait été repoussée de 20 minutes la veille du
mariage car un enterrement avait lieu à l’heure prévue initialement. Le
parvis de l’Eglise et de la Mairie étant communs, il valait mieux éviter
que les processions ne se croisent, pour les uns comme pour les autres.

Le planning de la journée, déjà serré, l’était donc devenu encore plus. Et l’entrée dans la mairie prend encore un peu de retard. Juste avant d’entrer, la nièce de la mariée vient me voir pour me demander si elle peut essayer de prendre une photo. Malheureusement le moment est mal choisi, je lui dis donc que ce serait avec plaisir, mais qu’on verra ça le lendemain car on ne peut pas prendre le temps de le faire ce jour-là.
Cérémonie civile française
La cérémonie civile débute finalement, menée par l’adjointe au maire. Pour une fois, il y a un peu de place pour circuler, et je prends moi aussi un appareil pendant ce moment. Un peu d’émotions et de larmes chez certain·es, notamment le frère de Shayann, qui est aussi son témoin.


Nous remarquons pendant le traitement des photos qu’un invité a chaussé ses lunettes de soleil au cours de la cérémonie. Nous suspectons donc cette personne de cacher ses larmes. Heureusement nous sommes là pour nous assurer que ça ne passe pas inaperçu.
Une gaffe de l’adjointe au maire vient ternir un peu la cérémonie pour les marié·es, mais Mathilde réagit au quart de tour pour la faire oublier aux invité·es. C’est aussi ça les mariages, certaines choses ne se passent pas comme on l’avait imaginé. Mais ces petits désagréments deviendront des souvenirs une fois que l’eau aura coulé sous les ponts. Et la grande majorité des invité·es n’ayant aucune idée de ce que les marié·es avaient imaginé, les imprévus passent complètement inaperçus à leurs yeux.

Le reste de la cérémonie se passe sans autre péripétie. Iels se disent oui, et les registres sont signés par l’adjointe au maire, les marié·es et leurs témoins. Sans oublier bien sûr le traditionnel échange des alliances.
Une fois que tout le monde est sorti nous plaçons les marié·es sous le lustre de la mairie, profitant du lieu pour une petite photo au flash.

Trajet vers la suite des festivités
Les marié·es sortent sous les applaudissements et les pièces jetées en l’air (de fausses pièces, rassurez-vous, Picsou n’était pas invité, et ça doit quand même faire mal une pièce de deux euros reçue sur la tête). Direction le domaine pour la suite des festivités.
Xavier monte avec les marié·es dans une Porsche Macan conduite par le frère de Mathilde, et on se rejoint là-bas.


Une fois sur place, nous faisons les premières photos de groupe avec les témoins qui sont déjà sur place, puis nous empruntons les marié·es pour quelques photos de couple derrière le domaine, en attendant que le reste des invité·es arrive.
Nous demandons à la mère de Shayann, qui est en charge de l’organisation de la cérémonie iranienne, s’il est possible de déplacer la cérémonie à l’extérieur afin de profiter de la lumière et d’avoir assez de place pour que tout le monde puisse s’approcher. Elle accepte, et la cérémonie a donc lieu dehors, ce qui donne de meilleures photos et a plus de charme.
Il y a un peu d’attente pour que cette cérémonie débute, car l’officiant, le procureur de San Diego, n’est pas encore là, ce qui vient encore une fois perturber le planning.

L’heure dorée commence à poindre son nez, et les photos de groupe n’ont pas encore été faites, ce qui nous inquiète un peu. Nous en profitons quand même pour faire une petite photo. Il serait dommage de gâcher l’heure dorée.
Cérémonie civile iranienne
Heureusement la cérémonie n’est pas très longue, et il reste donc un peu de lumière lorsqu’elle prend fin. Il s’agit de l’équivalent iranien de notre cérémonie civile, sans l’officialité puisque la cérémonie n’a pas lieu là-bas. Mais c’était important pour la famille de Shayann qu’elle soit célébrée, et c’est un super moment auquel nous n’avions encore jamais assisté. La cérémonie est menée en farsi, nous ne comprenons donc pas tout, mais Mathilde et Shayann nous avaient un peu expliqué, et il y a beaucoup plus d’éléments visuels que lors des cérémonies civiles françaises.
Les marié·es sont installé·es à une petite table face aux invité·es. Sur la table se trouvent de nombreuses douceurs (des petits gateaux orientaux, des loukoums, une coupe de miel) ainsi que des bougies. Deux personnes tiennent un tissu orné de perles au-dessus des marié·es, et une troisième personne casse du sucre sur les marié·es (enfin sur le tissu) pendant la cérémonie, pour leur souhaiter une vie sucrée.

Comme en France, le consentement des époux·ses est demandé par l’officiant. La tradition est que la femme ne réponde pas oui la première fois que la question lui est posée, mais seulement la troisième fois. Mathilde ne savait pas si elle la respecterait ou non. Sur le moment, elle décide de ne pas infliger la torture de l’attente à Shayann et de répondre oui (enfin « Baleh ») directement.



Photos de groupe et vin d’honneur
Une grosse photo de groupe est prise en souvenir à la fin de la cérémonie, puis le vin d’honneur commence tandis que nous nous attelons aux photos de groupe à proprement parler. Les marié·es avaient préparé une liste, et chargé certain·es de leurs ami·es d’appeler les personnes au fur et à mesure pour que ça ne prenne pas trop de temps.
C’est une petite course contre la montre qui a lieu, car la lumière commence à baisser, et nous ne voulons pas que certaines photos voulues par les marié·es passent à la trappe, ni devoir les faire de nuit, ce qui est certes faisable, mais quand même bien moins joli. Je glisse quelques petits fours aux marié·es entre deux photos pour qu’iels ne meurent pas de faim. Malgré quelques photos non prévues qui se frayent une place pendant qu’on avance dans la liste, et certain·es invité·es difficiles à trouver, nous y parvenons, et terminons les photos de groupe à temps. Nous : 1 – Le soleil : 0.
J’apporte des coupes à Mathilde et Shayann pour officialiser la fin des photos de groupe et le début du vin d’honneur (pour elleux, car leurs invité·es en profitent déjà) et nous les laissons se régaler de toutes les bonnes choses préparées par le traiteur.
Nous prenons quelques photos du vin d’honneur, mais le retard de planning et la nuit tombante limitent fortement le temps disponible pour ces photos. L’heure venue, la mariée fait un discours de remerciements, et nous passons dans la salle, installée par le traiteur selon les consignes des marié·es.

Passage à table

La salle est très belle de base, avec des poutres apparentes et des chaises ornées de coussins en velours rouge, et la décoration imaginée par les marié·es est sobre et élégante. De beaux livres anciens composent les centres de table, accompagnés de compositions florales harmonieuses.
Les invité·es trouvent leur place sans trop de mal sur le plan de table original placé à l’entrée de la salle. Une fois tout le monde installé, les témoins prennent le micro pour quelques discours, et le repas commence.


Nous sommes pour notre part installés sur une table avec le DJ. Une personne sympathique et avec de bons goûts musicaux. Nous n’avions pas pu avoir de PostModern Jukebox à notre propre mariage pour une sombre histoire de clé USB oubliée, mais nous aurons pu en avoir sur le mariage de Mathilde et Shayann, ça rattrape !
Mon régime alimentaire a bien été transmis au traiteur, et j’ai le droit à de vrais plats alternatifs aux viandes et poissons servis. Je me régale et les autres aussi.
Jeux et animations de mariage
Entre les plats la soirée est rythmée par deux animations. La première est un blindtest, animé par le DJ assisté de quelques ami·es des marié·es chargé·es d’arbitrer. Parfait pour que tout le monde puisse participer quelque soit la langue parlée et la culture. Quelques tricheur·ses muni·es de Shazam se glissent parmi les participant·es, mais iels sont démasqué·es et c’est un bon moment de rigolade et de partage. L’ambiance est électrique !
Le second jeu est celui des points communs. J’ai déjà expliqué le principe dans l’un des récits précédents. Je crois bien que c’est moi qui avais suggéré ce jeu à Shayann lorsque nous nous étions rencontrés et qu’il me faisait part de leur difficulté à trouver quelque chose qui convienne pour tout le monde.

La liste distribuée sur chaque table avait été traduite en anglais et chaque point commun était écrit dans les deux langues, pour que tout le monde puisse comprendre et participer.

Le DJ apporte un peu d’ambiance via des jingles lancés lorsque les invité·es doivent se lever, une bonne amélioration de la version de base, puisque les personnes debout dansent. Encore une fois, Mathilde et Shayann sont très doué·es et nous impressionnent. Iels connaissent très bien leurs invité·es !
Une fontaine de champagne est prévue, et nous décidons de saisir cette occasion pour travailler nous-même l’éclairage de ce moment, puisqu’il se déroule à l’écart de la piste de danse et des éclairages du DJ.

Soirée dansante
Après le dessert, les tables positionnées sur la piste de danse sont débarrassées et démontées pour permettre aux marié·es d’ouvrir le bal. Mathilde et Shayann avaient pris des cours et chorégraphié la danse. Nous savions que c’était un moment stressant pour Shayann, mais il assure le moment venu ! Leur stress semble disparaître dès les premiers pas, et on sent leur complicité et leur amour dans leurs gestes. J’en tire même quelques larmes, première fois que je pleure pour une ouverture de bal.

La soirée dansante démarre ensuite. L’ambiance est excellente, et les invité·es qui ne se connaissaient pour beaucoup pas avant ce jour se mélangent sur la piste.

Vers la fin de la soirée a lieu une danse traditionnelle que nous attendions avec beaucoup de curiosité. Tradition qui ne nous vient pas de l’Iran mais de la Vendée, la danse de la brioche ! Pour cette danse, il faut : deux marié·es, une énorme brioche vendéenne, un genre de plateau/brancard en bois sur lequel repose la brioche et tenu par les marié·es, et enfin plein d’invité·es se tenant par la main et passant sous la brioche.

Les marié·es sont au bout de quelques temps remplacé·es par d’autres couples. Une fois la musique officielle terminée, le DJ lance une idée inédite : une danse de la brioche iranienne. Il met une musique iranienne et propose une seconde danse de la brioche, sur cet air. Une réussite, tout le monde se déchaîne sur la piste, et rechigne à laisser la brioche repartir en cuisine pour la découpe.
Toutes les bonnes choses ont une fin
Nous retrouvons tout le monde au brunch le lendemain. La maman de Shayann vient nous voir pour nous remercier d’avoir demandé à déplacer la cérémonie iranienne, car même sur ses photos prises au téléphone, elle voit bien que ça rend mieux qu’en intérieur. Les marié·es nous remercient également pour notre travail, et pour avoir sauvé la journée en pressant régulièrement les choses pour que le planning ne soit pas trop chamboulé et que les retards ne s’accumulent pas trop. Nous en profitons pour leur montrer la gamme d’albums que nous proposons, puisque nous n’en avions pas encore eu l’occasion.
Avant de s’éclipser, il me reste une promesse à honorer. C’est le moment d’offrir à la nièce de la mariée son premier cours de photo. Peut-être que dans quelques années on commencera à voir passer ses photos !

Nous empruntons enfin Mathilde et Shayann pour une dernière photo bonus, que Xavier avait en tête depuis notre visite du domaine en arrivant le Vendredi. Je n’en dis pas plus et je vous laisse la découvrir.

Recommandations des marié·es
Parce qu’il y a peut-être parmi les lecteur·ices de ce blog des futur·es marié·es de Vendée ou de Loire-Atlantique, Mathilde et Shayann nous ont fait un petit retour sur certains de leurs prestataires, ce qui me permet de faire suivre leurs recommandations !
La cérémonie iranienne, le vin d’honneur, le repas, la soirée dansante et le brunch se sont déroulés au château de la Cassemichère. Certains invités y étaient également hébergés. Si le lieu avait beaucoup de charme, ce qui a été apprécié par tout le monde, les marié·es nous ont fait part de certaines difficultés de communication avec le propriétaire, qui ont terni leur expérience. Ils ne le recommandent donc pas.
Une qualité au top, de la créativité, et une équipe professionnelle aux petits soins pour leurs clients, les marié·es recommandent chaudement le traiteur soullandais.
C’est le travail de Laurence Vrignaud que vous avez pu apercevoir sur les tables un peu plus haut dans cet article. Une belle harmonie dans les couleurs et les textures, et des créations qui ont su rester fraîche tout au long de la journée. Les marié·es recommandent donc la boutique inspiration florale à La Génétouze.
Le DJ Franck Guyard, venu de Loire-Atlantique, nous a beaucoup plu, en plus d’être d’excellente compagnie. Il a su gérer l’ambiance tout au long de la soirée, à travers les animations mais aussi la musique, adaptée à chaque moment, et aux multiples cultures qui se côtoyaient à l’occasion de ce mariage. Je n’ai malheureusement pas trouvé son site internet, mais si vous êtes intéressé envoyez-nous un petit message via le formulaire de contact, nous vous donnerons ses coordonnées.
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